La semaine se termine sur une météo très douce ce dimanche. C’est le moment de faire le point sur l’actualité de ces sept derniers jours avec le Récap d’actu. Au programme : la cour d’appel administrative de Bordeaux a confirmé l’annulation du Plan local d’urbanisme de Toulouse métropole, le professeur toulousain Jean Ferrières se prononce sur les effets du confinement et la commune de Lherm limite la chasse.
Ce mardi 15 février 2022, la cour d’appel administrative de Bordeaux a confirmé l’annulation du Plan local d’urbanisme de Toulouse métropole. Une décision attendue qui oblige la collectivité à revoir sa copie. Le futur document, qui devrait aboutir en 2025, devra se plier aux nouvelles normes en matière de lutte contre l’artificialisation de sols, beaucoup plus ambitieuses et contraignantes. Voici l’article pour en savoir plus.
Des médecins-chercheurs du CHU de Toulouse ont mené une étude sur les effets, à long terme, du confinement sur la santé mentale et physique. 534 Haut-Garonnais, âgés de 50 à 89 ans, ont été observés pendant un an, à l’issue de cet isolement contraint. Le professeur Jean Ferrières, cardiologue et auteur principal de l’étude révèle un lien entre le confinement et l’augmentation des risques cardiovasculaires. L’article est à lire ici pour en savoir plus.
La nouvelle a fait l’effet d’une bombe dans la sphère de l’enseignement supérieur de la Ville rose. La Toulouse School of Economics (TSE) est en passe d’obtenir le statut de grand établissement. Ce statut juridique accordé par le ministère de l’Enseignement supérieur donnerait à TSE une autonomie totale en matière pédagogique, scientifique, administrative et financière. En d’autres termes, l’école pourra s’affranchir du fonctionnement de l’Université Toulouse 1 Capitole (UT1) à laquelle elle est rattachée. Le JT vous en dit plus ici.
Suite à l’accident de chasse très médiatisé qui a provoqué la mort d’une randonneuse dans le Cantal, Frédéric Pasian, le maire de Lherm a pris, ce lundi 21 février, un arrêté municipal limitant drastiquement cette pratique dans sa commune. Depuis la publication de ce document, les chasseurs locaux n’ont plus le droit, sur l’ensemble du territoire communal, de se servir d’armes ayant une portée de plus de deux kilomètres ni d’utiliser de balles et de cartouches de chevrotine. Un cadre qui restreint significativement les possibilités de chasse sans l’interdire purement et simplement (ce dont une maire n’a pas le pouvoir). Voici l’article à lire.
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