Le festival Welcome in Tziganie a été reporté du 2 au 4 juillet 2021, au Théâtre de Verdure à Seissan, dans le Gers. La programmation et une nouvelle billetterie seront annoncées début mai.
Après un premier report, le festival Welcome in Tziganie se tiendra finalement du 2 au 4 juillet 2021 à Seissan, dans le Gers, si la situation sanitaire le permet. « Au vu des dernières annonces gouvernementales, il était plus judicieux de décaler une nouvelle fois les dates de cette 14e édition », a annoncé Florian Calvez, le directeur du festival.
Cet événement festif était initialement prévu en avril, avant d’être décalé une première fois en juin puis en juillet. « C’est la deuxième fois que l’on repousse mais cela sera la dernière », assure le directeur. « Il y a un côté usant et lourd à toujours repousser les dates, autant pour nous les organisateurs que pour les artistes. Aujourd’hui, nous n’avons pas encore de protocole clair des autorités, c’est assez pénible. »
L’année dernière, les responsables avaient pu organiser une édition numérique en avril 2020 pour la 13e édition. « Nous avons eu beaucoup de succès mais nous n’allons pas reconduire pour cette année. Nous avons hâte de reprendre l’activité en live », exprime Florian Calvez.
La programmation de ce festival, qui met à l’honneur les artistes tziganes et balkaniques, sera annoncée début mai, en même temps que l’ouverture de la nouvelle billeterie. Les artistes programmés en juin ont renouvelé leur présence. Des nouveaux vont aussi participer à cette nouvelle date. Trois à quatre groupes sont prévus par jour.
Les concerts prendront place au Théâtre de Verdure. Un lieu en plein air qui pourra accueillir 1 400 personnes assises au lieu de 3 000 spectateurs debout. « Les recettes vont forcément baisser de moitié donc nous revoyons notre modèle économique », explique Florian Calvez. « Il faut que le public soit au rendez-vous ! »
Les billets restent valables pour ces nouvelles dates. Les remboursements sont possibles, la procédure sera communiquée par mail dans les prochains jours.
Marie-Amélie Masson
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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