12 Mars 2025
12 Mars 2025
À l’occasion de la 5e semaine nationale des Missions locales, jusqu’au 21 octobre, celle de Haute-Garonne organise une quinzaine d’actions pour sensibiliser les jeunes à l’écoresponsabilité.
La Mission locale de Haute-Garonne organise une quinzaine de journées d’actions consacrées à l’écoresponsabilité ©Mission locale de Haute-GaronneJusqu’au 21 octobre prochain, la Mission locale de Haute-Garonne organise des journées d’actions autour de l’écoresponsabilité. « L’environnement et le développement durable sont au cœur des préoccupations des jeunes », justifie Sabine Geil-Gomez, présidente de la Mission locale Haute-Garonne. Cet organisme remplit une fonction d’écoute, de conseil, de soutien et de prévention auprès des jeunes de 16 à 25 ans, l’objectif étant de les accompagner vers l’autonomie et l’emploi. Plus de 20 000 d’entre eux sont ainsi suivis dans le département, dont la moitié a déjà entamé une démarche professionnalisante. « La spécificité de notre Mission locale est qu’elle possède un maillage territorial exceptionnel, avec 68 lieux d’accueil répartis sur toute la Haute-Garonne », ajoute Sabine Geil-Gomez.
Lors de cette 5e édition de la semaine nationale des Missions locales, chacune des sept antennes départementales proposera donc des visites d’entreprises ou d’exploitations maraîchères, des ateliers, des débats, des expositions et des conférences. Pour sensibiliser à une consommation responsable, au tri, ou au zéro déchet. Et faire découvrir les métiers de l’agriculture biologique ou ceux liés aux circuits courts. « Ce sont des filières qui vont fortement se développer à l’avenir et dont les jeunes doivent s’emparer. Ces évènements seront aussi l’occasion de montrer aux entreprises locales toute la richesse et les talents de la nouvelle génération », souligne la présidente. L’autre objectif de la démarche est de mieux faire connaître les Missions locales auprès du grand public et « que ceux qui sont déscolarisés, qui se retrouvent seuls ou éloignés de l’emploi sachent que notre réseau existe et qu’il est dynamique », conclut Sabine Geil-Gomez.
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