10 Mars 2025
10 Mars 2025
La région Île-de-France est touchée par un épisode de pollution de l’air à l’ozone sur une partie de son territoire ce vendredi 20 juillet.
Une partie de l’Île-de-France est de nouveau touchée par un épisode de pollution de l’air à l’ozone ce vendredi 19 juillet. Les départements du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis sont notamment concernés. « Les conditions météorologiques estivales seront propices à la formation d’ozone », indique Airparif, l’association de surveillance de la qualité de l’air en Île-de-France. Il faut dire qu’il fait particulièrement beau et surtout chaud dans la région en cette fin de semaine.
Une bonne nouvelle pour le moral des Franciliens, mais moins pour la qualité de l’air car cette météo favorise la hausse des concentrations d’ozone. Celles-ci seront ainsi « soutenues avec un risque de dépassement du seuil d’information », fixé à 180 µg/m³, annonce ainsi Airparif. La qualité de l’air est donc mauvaise sur une bonne partie Nord de l’Île-de-France et dégradée sur le reste de la région ce vendredi. Ce qui pourrait causer quelques désagréments pour les personnes sensibles.
L’ozone est effectivement un polluant qui irrite les yeux et l’appareil respiratoire. L’Agence régionale de Santé émet ainsi plusieurs recommandations sanitaires pour l’épisode de pollution, notamment : éviter de fumer ou de faire du feu, de faire du sport près des routes, continuer d’aérer votre maison en ouvrant les fenêtres pendant au moins dix minutes par jour, à l’intérieur n’utilisez pas de produits irritants comme les produits d’entretien, les désodorisants ou les parfums d’ambiance.
Et pour les personnes plutôt sensibles, c’est-à-dire, âgées, malades, enceintes ou celles avec un enfant de moins de cinq ans, il est conseillé d’éviter de sortir pendant l’après-midi et de ne pas faire d’exercices physiques intenses en plein air qui obligent à respirer par la bouche. En tout cas, si vous ressentez une quelconque gêne respiratoire ou cardiaque inhabituelle au cours de cet épisode de pollution, n’hésitez pas à en faire part à un médecin ou à un pharmacien.
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