Quatre étudiants de l’Isae-Supaéro de Toulouse organisent une course virtuelle les 30 et 31 mai prochain. L’ensemble des fonds récoltés sera reversé au Secours Populaire.
Les participants à la première édition des Foulées Exceptionnelles. ©Les Foulées Exceptionnelles.Après une première édition réussie avec 1 400 euros récoltés pour l’Association française des scléroses en plaques, les Foulées Exceptionnelles sont de retour. Cette course pédestre revient cette fois pour récolter des fonds pour la section haut-garonnaise du Secours Populaire.
Cette seconde édition devait avoir lieu le 31 mai sur la base de la Ramée à Toulouse. Compte tenu de l’épidémie de Covid-19, les quatre organisateurs, tous étudiants à l’Isae-Supaéro, ont modifié le format de la course. Désormais, la course devient virtuelle.
Le concept est simple : chaque personne qui le souhaite peut courir lors du week-end du 30 et 31 mai 2020. Le parcours de la course est publié sur le site de l’événement et les participants peuvent s’en servir. Toutefois, chacun est libre de courir où il le souhaite. L’objectif étant de se dépasser ensemble pour une bonne cause. Une photo est simplement demandée à la fin de la course comme gage de participation. Les quatre organisateurs récompenseront d’ailleurs les meilleures photos.
Pour obtenir le plus de dons possible, les organisateurs proposent à chacun, après s’être inscrit gratuitement, de faire un don via une cagnotte en ligne. La somme permettra au Secours Populaire de financer des licences sportives pour les enfants les plus défavoriser. « Avec cette course, nous encourageons les gens à courir tout en leur proposant de faire une bonne action. Nous voulons apporter notre aide aux enfants de la région qui ne peuvent pas faire de sport, faute de moyen », explique Auguste Basset, l’un des organisateurs des Foulées Exceptionnelles.
Le rendez-vous est donc pris pour le 30 et 31 mai prochain. Les organisateurs espèrent toucher une centaine de personnes pour aider au maximum à financer des licences sportives aux enfants les plus défavorisés.
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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