À partir de vendredi minuit, le couvre-feu sera appliqué sur l’ensemble de la Haute-Garonne. Il sera donc interdit de circuler dans toutes les communes du département, sauf dérogation, entre 21 heures et 6 heures du matin.
L’annonce était attendue. Comme la métropole la semaine dernière l’ensemble des communes du département sera désormais soumis au couvre-feu. Une mesure drastique dévoilée ce jeudi 22 octobre par le Premier ministre Jean Castex. Ainsi, à partir de vendredi minuit, il sera interdit de circuler sur l’ensemble du territoire de la Haute-Garonne, sauf dérogation, entre 21 heures et 6 heures du matin. (Les attestations dérogatoires de déplacement sont à télécharger sur le site du gouvernement)
Cette restriction a, pour le moment, été envisagée pour une durée de 6 semaines.
Lors de la même annonce, le Premier ministre a dévoilé les noms des 38 autres départements concernés par le couvre-feu, dont l’Ariège et le Tarn-et-Garonne. En Occitanie, ce sont donc désormais la Haute-Garonne, l’Aveyron, le Gard, les Hautes-Pyrénées, la Lozère, les Pyrénées-Orientales et le Tarn qui devront appliquer ces restrictions. Au plan national, ce sont donc désormais 46 millions de Français, dans 54 départements et un territoire d’outre-mer qui sont concernés par cette restriction sanitaire.
La liste complète des départements qui basculeront ce vendredi en couvre-feu
• Ain
• Alpes-Maritimes
• Ardèche
• Ardennes
• Ariège
• Aube
• Aveyron
• Bas-Rhin
• Calvados
• Corse du Sud
• Côte d’Or
• Drôme
• Gard
• Haute-Corse
• Haute-Loire
• Haute- Savoie
• Haute-Vienne
• Hautes-Alpes
• Hautes-Pyrénées
• Ille-et-Vilaine
• Indre-et-Loire
• Jura
• Loiret
• Lozère
• Maine-et-Loire
• Marne
• Meurthe-et-Moselle
• Oise
• Pas-de- Calais
• Puy de Dôme
• Pyrénées-Atlantiques
• Pyrénées-Orientales
• Saône-et-Loire
• Savoie
• Tarn
• Tarn-et-Garonne
• Var
• Vaucluse
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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