2 800 décès par an en Occitanie. C’est le nombre de victimes de la pollution atmosphérique. Sans compter les 6 000 à 12 000 habitants de l’agglomération toulousaine exposés chaque année à des dépassements des seuils autorisés. En cause? Principalement la circulation automobile. Malgré la mise en place de la vignette Crit’air et de la circulation différenciée, Toulouse reste un mauvais élève et ne parvient pas à juguler les pollutions liées à l’automobile. Et donc à améliorer la qualité de l’air que respire ses habitants.
Comment infléchir cette trajectoire et maintenir la qualité de l’air? La métropole toulousaine peut-elle devenir un laboratoire d’innovation en matière de mesures et de lutte contre les polluants de l’air? Des éléments de réponse lors du café-débat organisé par le Conseil de développement Toulouse métropole (Codev) ce soir, à 18h, au Café Jean (75 allées Jean Jaurès).
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Renseignements: codev-toulouse.org
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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