Sur les réseaux sociaux, plusieurs habitants de Toulouse s’inquiètent de voir plusieurs hélicoptères voler au-dessus de la Ville rose à basse altitude. Les pompiers du département ont reçu plusieurs appels concernant ces mêmes appareils. Pas de panique, il s’agit simplement du tournage d’une célèbre émission de télé.
CC Hedgehog46-WikipediaDepuis ce mardi matin, des hélicoptères survolent la ville de Toulouse à basse altitude. Sans en connaître les raisons, de nombreux habitants se sont inquiétés de ses multiples allers et venues. Allant même jusqu’à avertir le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis).
🚁 4 moustiques géants #helicoptere #Toulouse pic.twitter.com/ZDcHWTMAlE
— Fabien 🗨️ (@BoulangeFabien) July 7, 2020
Sur les réseaux sociaux, les Toulousains cherchent des réponses…
@Toulouse c’est quoi cet hélicoptère à basse altitude qui passe et repasse au dessus du quartier Montaudran ?
— Laure V…. 🌈 (@laurevignaux) July 6, 2020
Certains pensent même identifier des hélicoptères de la gendarmerie…
Salut les amis amies Les hélicoptères de la gendarmerie tourne en rond au dessus de la Garonne Pont Saint Pierre à Toulouse depuis 8 h ce matin !!!!!! Quelqu’un a-t-il une info merci bisous bonne chance aux turfistes 🍀🍀🍀🍀
— egalamoimeme (@Egaleamoimeme69) July 7, 2020
La couleur bleue marine des appareils est effectivement trompeuse. Mais, que tout le monde se rassure, il ne s’agit en réalité que des hélicoptères estampillés “La Carte aux trésors“, la célèbre émission présentée par Cyril Féraud. Deux candidats s’y affrontent tout au long d’un jeu de piste géant. Et, durant plusieurs jours, le tournage a lieu en Haute-Garonne, mettant en valeur le patrimoine et les paysages du département. Les participants se déplacent en hélicoptères lorsqu’ils doivent effectuer de longues distances. Sans compter les appareils de la production avec caméras embarquées. Ce qui explique les vols à basse altitude. Quant à la diffusion de cet épisode, il faudra attendre un peu pour en connaître la date.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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