Les investisseurs avaient jusqu’au 15 mars dernier pour déposer une offre ferme. Et selon le journal La Tribune, EDF Invest n’aurait pas donné suite à son intérêt pour le rachat des parts de l’aéroport Toulouse-Blagnac mises en vente par la holding chinoise Casil.
Il ne reste donc plus que trois potentiels acheteurs : Eiffage, Vinci et le groupement Ardian/Caisse d’Épargne.
Ce jeudi 21 mars, le ministre de l’économie Bruno le Maire rencontrait les actionnaires locaux. La CCI, Toulouse Métropole, le Conseil départemental et la Région Occitanie détiennent 40% des parts dans l’aéroport et souhaitent obtenir des assurances sur la vente des 49,9% détenus par Casil.
La requête de plusieurs syndicats qui demandent “un séquestre judiciaire des actions litigieuses détenues par Casil Europe” sera, elle, examinée par le tribunal vendredi 22 mars.
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