L’Albi Eco Race est de retour pour sa quatrième édition ce jeudi 19 mai. Cet évènement prendra place sur le circuit albigeois durant trois jours. La programmation est riche avec des courses automobiles 100% électriques, une course solaire de 24 heures, des conférences…
L’Albi Eco Race est de retour. Le grand rendez-vous de compétition automobile réservé aux véhicules propulsés par des moteurs électriques, solaires ou encore à hydrogène débute sa quatrième édition ce jeudi 19 mai sur le circuit automobile de la capitale tarnaise. “Cette manifestation est l’occasion de mettre en lumière d’ores et déjà des voitures existantes et c’est également une vitrine technologique pour présenter des véhicules innovants”, rappellent les organisateurs.
Outre les courses automobiles, les trois jours de l’événement seront donc aussi rythmés par des conférences et des tables rondes. Avec pour objectif de sensibiliser le grand public sur le développement de l’automobile électrique et l’écomobilité. Le top départ sera d’ailleurs donné à 14 heures avec une table ronde sur les enjeux et les atouts liés au développement des infrastructures de recharge. Un village d’exposants accueillera par ailleurs les visiteurs.
Côté compétition, la grande nouveauté de cette nouvelle édition réside dans l’organisation d’une course solaire d’endurance, qui durera 24 heures. Plusieurs pilotes se relaieront donc au volant pour pousser les limites des véhicules de la catégorie Elite Albi Solar Challenge.
L’Albi Eco Race propose également plusieurs challenges qui verront se confronter différents types de véhicules électriques : véhicules radiocommandés, prototypes et Urban Concept, véhicules solaires de compétition, véhicules électriques et à hydrogène… 600 participants sont attendus, selon France 3 Occitanie, dont certains grands constructeurs automobiles via leurs filiales.
Autre nouveauté de cet opus 2022 : l’apparition d’un niveau dit « initiation », qui opposera des véhicules solaires réalisés et conçus par des élèves d’écoles primaires. L’entrée est libre pour l’ensemble des manifestations.
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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