La ville de Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, accueille les championnats de France de cross-country du vendredi 12 au dimanche 14 novembre.
Après deux ans et demi de report à cause de la crise sanitaire, la ville de Montauban, la Fédération française d’athlétisme (FFA) et le Comité départemental d’athlétisme du Tarn-et-Garonne peuvent enfin souffler. Le championnat de France de cross-country aura bien lieu du vendredi 12 au dimanche 14 novembre prochain sur l’hippodrome des Allègres de Montauban. Cela faisait 26 ans que la compétition n’avait pas été organisée en Occitanie. La dernière édition régionale s’étant tenue à Castres, dans le Tarn, en 1995.
Les meilleurs coureurs de France se donnent donc rendez-vous la semaine prochaine à Montauban. L’événement sportif réunira près de 4 000 athlètes durant trois jours de compétition. Les “masters hommes”, la coupe de France minimes, les courses cadets et juniors auront lieu dimanche matin. Les championnats de France se poursuivront l’après-midi avec les épreuves séniors : cross courts sur 4 625 mètres et cross longs Elite, Espoirs, Master sur 8 623 mètres pour les femmes et 9 823 mètres pour les hommes. Le parcours sera technique, doté de buttes naturelles, dont une de quatre mètres de haut avec une pente de 30 degrés. Les compétiteurs devront également traverser des portions sableuses et terreuses.
Des dizaines de coureurs amateurs ou professionnels participeront à la course “Open” organisée samedi 13 novembre sur le parcours de compétition. Le plan du circuit est similaire à celui des élites masculins, soit 9 823 mètres. Tous les participants de cette course se verront offrir un accès spectateur gratuit pour les compétitions nationales qui se déroulent le lendemain. Pour information, les inscriptions sont closes.
Informations pratiques : Accès gratuit samedi. Préventes en ligne ici pour le championnat : 6 euros. Tarif sur place : 10 euros. Gratuit pour les enfants de 12 ans et les participants de la course “Open”.
Alix Drouillat
Après avoir étudié le journalisme trois ans à Toulouse, Alix fait désormais partie de l’équipe du Journal Toulousain en parallèle de son cursus à l’ESJ Pro de Montpellier.
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