24 Février 2025
24 Février 2025
L’accident d’un camion qui s’est renversé sur la voie du périphérique extérieur de Toulouse, à la mi-journée du lundi 19 septembre, provoque des embouteillages.
Ça coince sur le périphérique autour de la Ville rose. Alors que les forains menacent d’organiser de nouveaux blocages et opérations escargot faute d’avoir trouvé un accord avec la Mairie de Toulouse pour organiser la fête Saint-Michel, un autre événement perturbe la circulation des automobilistes toulousains.
Un accident impliquant un poids lourd s’est produit sur le périphérique au niveau de l’échangeur Soupetard, près de Balma, à l’Est de Toulouse. Le camion qui transportait des buses en béton s’est renversé sur les voies du périphérique extérieur. Suite au choc, sa cargaison s’est répandue sur la chaussée. Deux voies se trouvent donc neutralisées.
L’accident de ce camion sur la rocade de Toulouse a fait un blessé léger. L’individu a été pris en charge par les secours, selon le Service départemental d’incendie et de secours de la Haute-Garonne (Sids 31), qui se trouve sur place. Cela provoque également un embouteillage de plusieurs kilomètres sur le périphérique.
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— Toulouse Trafic (@tlsetrafic) September 19, 2022
À l’heure où nous publions ces lignes, les forains qui exigent un emplacement pour recevoir la fête Saint-Michel n’ont pas encore mis leurs menaces de blocages sur la rocade de Toulouse à exécution. Ce lundi 19 septembre, entre 14 heures et 19 heures, ils pourraient s’élancer depuis le péage Toulouse-Nord pour rejoindre le périphérique.
Les forains de la fête Saint-Michel ont déjà organisé une opération similaire vendredi 16 septembre. Celle-ci a déclenché la colère du maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (LR) comme le montre un courrier dévoilé jeudi 15 septembre par le service de communication de la municipalité.
« Visiblement, vous préférez passer en force, comme l’atteste votre annonce, datant de plusieurs semaines, de bloquer les axes routiers de notre agglomération (…). Tout cela constitue une façon d’agir de nature à empêcher la création d’un climat de confiance entre nous », écrit l’édile.
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