Au programme du récap d’actu de ces sept derniers jours : le Samu de Toulouse enregistre une hausse d’appels, un zoo accueille les animaux rescapés de Gironde, le record de chaleurs successives battu avec la canicule à Toulouse, et la baignade de nouveau possible à la piscine Nakache, mais plus au lac de la Ramée.
Confronté à une hausse des températures en raison de la canicule, le centre d’appel du Samu de Toulouse est de plus en plus sollicité. Il est question de 10 % d’appels en plus depuis le début de la vague de chaleur, selon nos confrères de France 2. Un flot d’appels supplémentaires qui s’ajoute à d’autres : le centre de Toulouse subi déjà des hausses de la demande liées à la Covid-19 et aux grèves des urgences. Les patients sont en effet invités à contacter le 15 afin d’évaluer le besoin de se rendre aux services des urgences. Retrouvez l’article du JT.
Les incendies continuent de faire rage en Gironde, et les évacuations s’enchaînent. Les habitants, bien sûr, mais aussi les animaux. Les résidents du zoo de la Teste-de-Buch, menacés par des fumées toxiques dans la soirée du 18 juillet, ont été déplacés. Certains ont rejoint Pessac, dans l’agglomération de Bordeaux, et d’autres ont été installés près de Toulouse, dans l’African Safari de Plaisance-du-Touch. Les précisions du zoo sont ici.
Jeudi 21 juillet, Toulouse a battu un record de chaleur sur la durée : 17 jours consécutifs au dessus de la barre symbolique des 30 °C. Du jamais vu depuis l’ouverture de la station de Météo France, en agglomération toulousaine, en 1941. Le record précédent datait de 2006, comme le rappelle le Journal Toulousain.
Une bonne nouvelle avec cette chaleur qui ne s’estompe pas : la piscine Nakache, située sur l’île du Ramier à Toulouse, est à nouveau entièrement ouverte. Elle a rouvert ce vendredi 22 juillet après avoir été partiellement fermée pendant la semaine.
La mauvaise nouvelle, c’est que quelques jours à peine après avoir été autorisée, la baignade est à nouveau interdite au lac de la Ramée de Tournefeuille. Une décision en date du 21 juillet expliquée par « la présence d’algues dangereuses » selon la Mairie.
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