22 Février 2025
22 Février 2025
Ce mardi 8 octobre, les bouchons sont toujours d’actualité sur les routes de Toulouse avec une circulation dense dès 7h à l’Ouest de l’agglomération. Le Journal Toulousain vous en dit plus sur la situation en direct.
Vous ne savez pas à quoi vous attendre en cette nouvelle journée qui se lève ? Le Journal Toulousain fait le point sur les conditions de circulation de ce mardi 8 octobre en suivant en direct les différents bouchons qui rallongent les temps de parcours des automobilistes à Toulouse avec Bison Futé.
La circulation est particulièrement dense ce mardi matin, un peu plus qu’à l’habitude, en raison de multiples accidents. Au total, trois sont en cours sur le périphérique de Toulouse, en plus de celui de l’A61 à Montgiscard. Le premier s’est produit sur l’A620, en direction du Nord de l’agglomération, sur la bretelle d’entrée de l’échangeur des Sesquières. Le deuxième est à l’origine d’un bouchon de plus de 9 kilomètres sur la voie de gauche de l’A61 à hauteur de la sortie 16 Soupetard, en direction du Sud de Toulouse. Et enfin, le troisième, concerne deux véhicules légers sur l’A621 juste à hauteur de l’échangeur des Sept Deniers en direction de l’aéroport de Blagnac.
Si vous circulez actuellement sur l’A61 en direction de Toulouse, soyez prudents lorsque vous passez la sortie 19.1 Montgiscard. Un accident vient de se produire sur la voie de gauche, neutralisant la circulation dans le secteur.
Vers 7h10, la circulation s’intensifie sur l’A64 entre Muret et Toulouse où des ralentissements se forment peu à peu. Les automobilistes circulent désormais au pas sur plus de 10 kilomètres.
De même que des ralentissements sont également en cours sur plus d’un kilomètre sur l’A62 entre la sortie 14 Croix Daurade et l’échangeur des Sesquières.
Il est à peine 7h ce mardi, quand les premiers bouchons se forment sur les routes de Toulouse. Si vous circulez actuellement en direction du périphérique depuis Léguevin, il va falloir prendre son mal en patience. Le soleil n’est pas encore levé, pourtant, les voitures sont déjà à l’arrêt sur plus de 3 kilomètres sur la N124 à hauteur de Pibrac.
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