Un week-end pour réimaginer un futur plus rose, c’est l’objectif du festival “le Vent se lève à Job”. Il se tient au Sept Deniers, à Toulouse, du 1er au 3 juillet.
Passer de « No future » à « Yes future », c’est ce que veut le collectif JOB. Du 1er au 3 juillet, ce groupe d’associations culturelles organise dans le quartier toulousain des Sept Deniers la 11e édition du festival : le Vent se lève à Job. Cette année, le thème de ce festival d’éducation populaire est « Horizons 2084, et si nous imaginions un avenir désirable ? ».
Dans le parc Job, les festivaliers sont invités à développer leur esprit critique et à créer une autre vision du monde. « Toutes ces infos sombres, quelles influences ont-elles sur notre présent, quel état d’esprit engendrent-t-elles aujourd’hui et pour demain ? Cela voudrait-il dire qu’on ne maîtrise pas notre imaginaire sur l’avenir ? Et alors, comment se le réapproprie-t-on ? Comment le dessinons-nous ? Et bien sûr, comment fait-on pour qu’il puisse se réaliser ? », interroge le festival.
Pour répondre à tous ces questionnements – ou en soulever d’autres – des ateliers sont prévus tout le week-end, aux côtés d’animations, de conférences gesticulées et d’apéros-concerts. Le tout assis dans l’herbe.
Samedi 2 juillet, un atelier participatif propose par exemple d’imaginer le quartier des Sept Deniers en 2050. Du côté des conférences gesticulées, l’artiste Gwennyn Tanguy invite à faire un pas de côté sur le sujet de l’éco-feminsime. Un thème qui sera également au cœur d’un autre atelier utopiste le dimanche à 10h.
Et pour garantir une ambiance festive, le Vent se lève à Job propose des apéros-concerts samedi et dimanche soir à 19h, ainsi qu’un pique nique le dimanche midi.
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