24 Février 2025
24 Février 2025
Du mercredi 4 au samedi 7 octobre, la Ville de Lourdes met en place des restrictions de circulation pour le pèlerinage du Rosaire. Près de 20 000 pèlerins, bénévoles et jeunes se donnent rendez-vous cette année.
De fortes perturbations sont à prévoir en centre-ville. Du mercredi 4 au samedi 7 octobre, la Ville de Lourdes accueille le pèlerinage du Rosaire. Depuis 1908, l’Ordre des dominicains organise cet événement durant la première semaine d’octobre. Et cette année encore, la famille dominicaine attend près de 20 000 pèlerins, bénévoles et jeunes à Notre-Dame de Lourdes.
Face à la foule attendue au sanctuaire, la Mairie de Lourdes prévoit ainsi plusieurs restrictions de la circulation. La Ville limitera l’accès à la zone touristique par l’activation des bornes escamotables. Cela concerne les secteurs suivants : pont Saint-Michel, boulevard Père Sempé, place Monseigneur Laurence, avenue Monseigneur Théas, avenue Monseigneur Schoepfer, rue Sainte Marie, rue Saint-Joseph, avenue Bernadette Soubirous, la rue des Carrières Peyramale (section comprise entre l’avenue Bernadette Soubirous et la rue Marie Saint Frai). Ces mesures seront ainsi actives les 4, 5 et 6 octobre, de 8h30 à 14h et de 17h30 à 22h15 ainsi que le 7 octobre de 8h30 à 12h30.
La Mairie de Lourdes interdit également le stationnement et la circulation autour du sanctuaire. Par exemple, la Ville interdit le stationnement dans la rue Sainte Marie, rue Saint Joseph, avenue Bernadette Soubirous, boulevard Père Rémi Sempé, place Monseigneur Laurence et avenue Monseigneur Théas du 4 octobre à 6h au 7 octobre à 13h. Les véhicules ne pourront pas non plus se garer face aux toilettes publiques, avenue monseigneur Schoepfer. Neuf neuf places de stationnement serviront notamment aux bus urbains et à la dépose des voyageurs de ceux-ci. La Mairie de Lourdes ajoute : « Durant les heures et jours d’activation des bornes escamotables, l’entrée dans le périmètre protégé et la circulation sont seulement autorisées aux véhicules des sapeurs pompiers, SAMU, forces de police et de gendarmerie, et ceux nécessaires à garantir la continuité des services publics d’urgence. »
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