La ville de Pézenas, dans l’Hérault, a repris son record du monde du nombre de personnes portant des marinières. Après avoir perdu son titre début avril au profit à Roscoff, dans le Finistère, elle a rassemblé 924 personnes.
La place Gambetta à Pézenas a été le théâtre d’un nouveau record du monde. La commune héraultaise a réuni le plus grand nombre de personnes portant des marinières au même endroit et au même moment. 924 personnes étaient présentes ce samedi 20 avril d’après France Bleu Hérault. Pour assurer un décompte précis, des arbitres se sont frayé un chemin à travers la foule, comptant méticuleusement chaque marinière.
Officiel. Pezenas reprend haut la main ce samedi matin le record du monde de nombre de marinieres pic.twitter.com/raFqbraUZJ
— France Bleu Hérault (@bleuherault) April 20, 2024
Le 6 avril dernier, Pézenas avait perdu son titre au profit de Roscoff, où 471 personnes s’étaient réunies en marinières. Les Bretons sont réputés pour leur ingéniosité lorsqu’il s’agit de relever des défis aussi insolites que surprenants. Ils ont établi des records du monde pour le plus grand rassemblement de Schtroumpfs, la plus longue galette saucisse ou encore une partie de chaises musicales mémorable. A Roscoff, les organisateurs de l’événement avaient invité chacun à enfiler sa plus belle marinière aux rayures bleues et blanches et à participer à ce qui promettait d’être le plus grand rassemblement jamais vu sur le port.
Avant de perdre son titre, Pézenas détenait le record depuis 2019 avec 290 personnes vêtues de la célèbre marinière. C’est en l’honneur de la 25e édition du festival Printival, célèbre pour rendre hommage au chanteur Boby Lapointe, que les organisateurs ont décidé de récupérer la distinction. Chaque année, pendant cinq jours le festival dédié à la figure artistique singulière de la chanson française originaire de Pézenas, met en lumière des artistes confirmés et des nouveaux talents. Le Printival a donc été clôturé en beauté, pour la grande marinade en hommage à Boby Lapointe.
Lou-Anne Strasfogel
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
Voir les publications de l'auteur
Commentaires