22 Février 2025
22 Février 2025
Ce mardi 24 octobre, une coalition d’acteurs locaux se sont réunis afin de donner le top départ des études multimodales sur les transports à Montpellier. Les élus cherchent ainsi à améliorer la mobilité de la métropole.
Vers une amélioration de la mobilité dans la métropole héraultaise ? Ce mardi 24 octobre, une coalition d’acteurs majeurs s’est réunie pour marquer le lancement des études multimodales de Montpellier (EMM), dans le but d’améliorer les transports au sein de l’aire métropolitaine. En analysant la mobilité, les collectivités souhaitent alors concilier les besoins croissants de déplacement avec une planification écologique et la décarbonation des transports.
Pour rappel, Montpellier Méditerranée Métropole compte actuellement 800 000 habitants. Seulement, elle enregistre tous les ans l’arrivée de plus de 11 000 nouveaux habitants depuis 20 ans. Et ce n’est pas près de s’arrêter. Face à cette expansion, les collectivités se lancent le défi d’améliorer la mobilité tout en s’inscrivant dans une politique d’aménagement du territoire durable. La réunion du 24 octobre a ainsi permis aux différents acteurs locaux de partager leur vision commune des enjeux de mobilité à long terme. Celle-ci comprend des perspectives de développement des infrastructures et des services de transports d’ici 2035 et 2045.
Et pour ce faire, un diagnostic conjoint sera effectué d’ici l’été 2024, avec le lancement ultérieur d’études d’opportunité pour les projets d’infrastructures de transport tous modes. Les collectivités prévoient également l’élaboration d’un programme de service express régional métropolitain. Celui-ci envisage de créer « d’un axe ferroviaire littoral ainsi que d’infrastructures et de services de transports diversifiés à l’image des lignes de car à haut niveau de service. » La préfecture d’Occitanie précise alors : « La mise en service du contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier en 2017 a notamment déjà permis une augmentation de la fréquence des trains en heure de pointe entre Lunel et Sète. » À noter que le lancement des études multimodales de Montpellier survient peu de temps après la réunion à Toulouse qui entre dans la phase 2 des analyses.
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