Ce dimanche 22 mai, l’espace André Roudière de Lavelanet accueille la deuxième édition de la Fête de la montagne. L’événement met à l’honneur le grand site de Montségur et permet de découvrir la nature, mais aussi son environnement socio-économique.
Des animations et des stands pour (re)découvrir le grand site de Montségur, classé depuis 2001 pour ses qualités paysagères, naturelles et culturelles. La Fête de la montagne se tient ce dimanche 22 mai à l’espace André Roudière de Lavelanet, en Ariège. Avec un début des festivités dès 9 heures.
La montagne est évidemment au cœur de l’événement, mais c’est aussi le cas de la forêt, le thème de cette deuxième édition. Le mot d’ordre lancé par la communauté de communes du Pays d’Olmes : “Sensibiliser”.
Il sera possible de rencontrer plusieurs organismes employeurs. L’Office national des forêts (ONF) sera présent, aux côtés de la Réserve naturelle régionale de Saint-Barthélémy ou encore de la station des Monts d’Olmes. Des métiers seront également à découvrir avec des maraudeurs, des coupeurs-fendeurs, des scieurs mobiles… L’objectif est ainsi d’ « œuvrer pour une meilleure considération de l’environnement naturel et socio-économique des milieux montagnards, et forestiers », selon la communauté de communes du Pays d’Olmes.
La Fête de la Montagne n’aura pas lieu qu’à Lavelanet même. Des activités en pleine nature sont organisées, avec des balades en trottinette électrique, à poney ou avec des ânes de bats. Les amateurs d’équidés pourront aussi venir à la rencontre des chevaux de Mérens.
« Le Pays d’Olmes a reçu en 2018 le label Projet alimentaire territorial qui récompense le travail exemplaire mené dans le programme d’actions pour la valorisation des valeurs agricoles, composantes majeures de l’identité locale », explique la communauté de communes. Pour mettre en valeur cette agriculture ainsi que l’artisanat, un marché gourmand proposera des produits à Lavelanet. Des animations sont également prévues avec des chiens de berger, et il sera même possible de tondre des brebis !
William Bernecker
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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