Dans le cadre du concours départemental annuel des “villes et villages fleuris”, le Tarn-et-Garonne dévoile son palmarès 2021. Maubec, Auvillar, Lauzerte et Valence d’Agen occupent les premières places des différentes catégories.
Le verdict est tombé. Le jury du concours départemental des “villes et villages fleuris” s’est réuni la semaine dernière pour déterminer son classement 2021. L’objectif est de récompenser les communes qui agissent pour « l’embellissement de leur cadre de vie », explique le département du Tarn-et-Garonne.
Dans la catégorie des communes de moins de 15 000 habitants, Valence d’Agen trône, seule, sur la première marche du podium. Toutefois, le jury a tenu à féliciter Caussade, Grisolles, Montech et Labastide-Saint-Pierre. Pour ce qui est des communes de moins de 3 000 habitants, Lauzerte arrive en tête. Cette ville du Nord du département est suivie de Lavit-de-Lomagne et de Saint-Nicolas-de-la-Grave, classées secondes ex-aequo.
Dans la catégorie des communes dont la population est inférieure ou égale à 300 habitants, Maubec, située dans le Nord-Est du département, occupe la première place. Sur le podium également : Sainte-Juliette, puis Saint-Vincent-Lespinasse. Belbèze-en-Lomagne, Le Pin et Lapenche occupent ex-aequo la quatrième place.
Pour ce qui est des communes de moins de 1 000 habitants, le palmarès est très serré. Auvillar arrive en tête ex-aequo avec Bourret. Juste derrière : Génébrières. Monbéqui et Reyniès se classent troisième.
Cette année, le thème du concours était “la place de la mairie dans son environnement”. Les communes Durfort-Lacapelette, Puygaillard-de-Quercy et Bressols ont reçu le “prix de la place de la mairie”, en récompense de l’attention apportée aux parvis de leurs hôtels de ville.
Le “prix de la démarche environnementale” est décerné à Le Causé et Génébrières, deux villages de moins de 1 000 habitants. Enfin, Lapenche, Sainte-Juliette, Saint-Antonin-Noble-Val et Moissac sont désormais titulaires du “prix de la créativité” et du “prix coup de cœur”.
Alix Drouillat
Après avoir étudié le journalisme trois ans à Toulouse, Alix fait désormais partie de l’équipe du Journal Toulousain en parallèle de son cursus à l’ESJ Pro de Montpellier.
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