Le Tarn-et-Garonne est en alerte de pollution atmosphérique ce mercredi 26 janvier. Plusieurs restrictions sont mises en place par la Préfecture du département afin de limiter ce phénomène. Selon les prévisions ATMO Occitanie, l’épisode de pollution doit s’étendre au moins jusqu’au 27 janvier.
Les Tarn-et-Garonnais devront être vigilants sur les routes. Le département est en alerte de pollution atmosphérique ce mercredi 26 janvier. Afin de limiter ce phénomène, deux mesures sont mises en place par la préfecture du Tarn-et-Garonne. Ainsi, la vitesse maximale autorisée des véhicules à moteur est abaissée de 20 km/h sur l’ensemble axes autoroutiers du département, et toute incinération à l’air libre est interdite.
Pour rappel, ce phénomène de pollution est dû à une accumulation de particules PM10 en suspension dans l’air. Selon ATMO Occitanie, chargé de la surveillance de la qualité de l’air dans la région, les conditions météorologiques actuelles, que l’organisme décrit comme « une masse d’air stable sans vent », limitent la dispersion des particules dans l’air, sur une grande partie de l’Occitanie.
Ainsi, cet épisode de pollution doit perdurer, au moins jusqu’au jeudi 27 janvier, sur les départements du Tarn-et-Garonne et de la Haute-Garonne.
Le Tarn-et-Garonne n’est pas le seul département Occitan frappé par ce phénomène. Ce mercredi 26 janvier, la Haute-Garonne et le Gard sont également placés en alerte de pollution atmosphérique. D’après les données d’ATMO Occitanie, à ce jour, 9 départements présentent un indice de qualité de l’air de niveau 4, autrement dit, mauvais.
Alors que l’épisode doit se poursuivre dans le Tarn-et-Garonne et la Haute-Garonne, dans le Gard, il prendra fin le 27 janvier.
Depuis le début de l’année 2022, ATMO Occitanie recense 5 journées d’épisodes de pollution. Le Tarn-et-Garonne, la Haute-Garonne et le Gard ont à chaque fois été touchés.
Charlotte Benatti
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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