Malgré cette période tendue pour les hôpitaux, le CHU de Toulouse parvient à garder son humour. C’est notamment le cas du community manager du compte Twitter.
C’est une fake news qu’on entend depuis plusieurs semaines. Et si dans les vaccins contre le coronavirus se cachait une petite puce qu’on nous injecterait dans le corps sans notre consentement ? Cette petite puce aurait alors un lien avec le déploiement de la 5G. Ainsi, avec ce réseau, il serait possible de contrôler plus facilement la population. Une théorie très répandue sur internet que certains croient et qui amuse d’autres.
Et cette théorie semble amuser le CHU de Toulouse. Le 5 janvier dernier, Julie Oudet, une utilisatrice de Twitter s’est adressée aux hôpitaux de Toulouse avec un petit air moqueur. « Bonjour @CHUdeToulouse , j’ai eu ma 1ere injection de vaccin contre le Covid ce matin et vous en remercie. Toutefois, je ne capte toujours pas la 5G. Est-ce un bug ? Dois-je attendre la 2e injection ou tout simplement contacter mon opérateur ? » Un tweete qui a été liké plus de 17 000 fois.
https://twitter.com/JulieOudet/status/1347601591684247556
Ce à quoi le compte du CHU de Toulouse a répondu avec autant d’humour « Bonjour Julie, selon l’inclinaison de la Terre (plate) l’intensité des ondes peut varier. Nous ne voyons pas d’autre explication et vous invitons à suivre les actualités du @le_gorafi pour ne rien rater des dernières informations non vérifiées sur la vaccination. Bien à vous. » Un message du CHU de Toulouse qui a largement été relayé sur le réseau social.
Bonjour Julie, selon l'inclinaison de la Terre (plate) l'intensité des ondes peut varier. Nous ne voyons pas d'autre explication et vous invitons à suivre les actualités du @le_gorafi pour ne rien rater des dernières informations non vérifiées sur la vaccination. Bien à vous.
— CHU de Toulouse (@CHUdeToulouse) January 9, 2021
La rédaction
Le Journal toulousain est un média de solutions hebdomadaire régional, édité par la Scop News Medias 3.1 qui, à travers un dossier, développe les actualités et initiatives dans la région toulousaine. Il est le premier hebdomadaire à s'être lancé dans le journalisme de solutions en mars 2017.
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