22 Février 2025
22 Février 2025
Pendant une semaine, le Festival scientifique Alternatiba Toulouse 2018 proposera des conférences, des projections et des ateliers dédiés aux problématiques climatiques. Avec comme objectif de sensibiliser sur le sujet en partageant savoirs et savoir-faire avec le plus grand nombre.
Le festival Alternatiba © DR« Alternatiba est la plus grande mobilisation européenne centrée sur le climat », assure d’emblée Benjamin, membre de la coordination d’Alternatiba Toulouse. Lancée à Bayonne en 2013 par l’association Bizi, elle est désormais déclinée dans plusieurs villes, dont Toulouse. « Il y a déjà eu deux forums, en 2015 et en 2017, accueillant chacun 35 000 personnes. »
Cette année, ce festival scientifique se déroulera du 19 au 27 septembre, dans la Ville rose. Plusieurs conférences gratuites et ouvertes à tous, animées par la communauté scientifique d’Occitanie, se tiendront à différents endroits. Elles porteront sur le réchauffement climatique et les bouleversements écologiques, sur les sociétés qui doivent y faire face et sur les moyens d’action citoyens et politiques. Il y aura aussi des projections de documentaires sur le sujet.
« Des ateliers de fabrication de produits ménagers alternatifs pour faire concrètement participer le public »
Si les festivaliers pourront ainsi enrichir leurs connaissances sur les problématiques climatiques, ils repartiront également avec quelques astuces pour améliorer leur empreinte carbone, en se rendant au Village des alternatives à Ramonville, dimanche 23 septembre. « Nous souhaitons que chacun reparte avec un nouveau savoir ou savoir-faire : nous avons donc demandé à la soixantaine d’organisations présentes d’imaginer des ateliers pour faire concrètement participer le public. Ils seront très divers, de la fabrication de produits ménagers alternatifs au potager paysan… », continue Benjamin. « Tout le monde doit pouvoir comprendre qu’il est possible de faire plein de petits gestes pour notre planète, tout de suite.
Programme complet sur le site d’Alternatiba.
Océane Redon
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