Le Canal du midi a désormais sa propre marque et un logo officiel qui permettra d’identifier toute la communication entre Toulouse et l’étang de Thau.
Des lettres en forme de piles de pont, surmontées d’un trait rappelant son tablier, le logo de la marque Canal du midi évoque l’un des nombreux ouvrages d’arts qui jalonne ce monument central du patrimoine de l’Occitanie. Ce jeudi 8 juillet, l’ensemble des acteurs locaux engagés dans la gestion, la conservation et la promotion du Canal du midi, réunis au sein d’une Entente et d’un Comité de Bien, ont officiellement lancé la marque Canal du Midi.
Une cérémonie qui s’est déroulée aux Cales du Radoub à Toulouse, en présence d’élus locaux et de Jean-Baptiste Djebarri, ministre délégué en charge des transports et au cours de laquelle, le logo de la marque a été dévoilé.
Avec le nom Canal du midi inscrit en blanc sur fond bleu, ce logo paraîtra sur l’ensemble des panneaux de signalétique et d’information répartis tout au long de l’ouvrage. Il permettra de rendre cohérent et immédiatement reconnaissable toutes les sources d’information déployées par les multiples collectivités et partenaires concernés par la mise en valeur du Canal du Midi.
« La marque institutionnelle qui a été dévoilée est une bannière commune permettant de porter haut et fort notre attachement à cet ouvrage unique dans sa conception et dans les valeurs de le lien qu’il porte, tout en mettant en exergue la diversité et la spécificité des territoires qu’il traverse. Elle permettra en outre de mieux valoriser les actions menés par l’État, les Voies navigables de France (gestionnaire du canal) et par les collectivités partenaires », rappelle la préfecture d’Occitanie, partie prenante du plan de gestion de l’ouvrage.
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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