Les quatre premiers commerces de l’écoquartier de la Cartoucherie ont ouvert leurs portes. En présence de Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse, une épicerie bio, un restaurant, un café et une auto-école ont été inaugurés ce mardi 3 décembre.
La première tranche de ce nouveau quartier toulousain continue de prendre vie. Ce mardi 3 décembre, les quatre premiers commerces ont été inaugurés en présence de Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse. Les habitants des 720 logements, qui disposaient déjà d’un groupe scolaire, de deux crèches et de deux établissements d’enseignement supérieur, pourront désormais se payer une salade vietnamienne typique à la table du Ô BoBun, ou acheter leurs légumes dans les rayons de l’épicerie Les comptoirs de la Bio. Le café Arcane, lui, accueille également le service de conciergerie « Allo Bernard ». Et avec le centre de formation à la conduite « Access Toulouse », ce sont, au total, 565 des 4 800 mètres carrés de surface disponible en pied d’immeuble qui ont trouvé une activité.
À ces espaces, viendront s’ajouter, en 2021, les 4300 mètres carrés consacrés aux boutiques de la seconde tranche du quartier. De quoi abriter des hôtels et un lieu dédié aux divertissements culturels en plus des commerces de proximité. Dans l’ensemble, une douzaine d’enseignes, majoritairement nationales, devraient s’installer. Dès le deuxième trimestre, un Carrefour Market et une salle de fitness accueilleront les riverains au rez-de-chaussée du bâtiment en bois « La Canopée – Wood’art ».
Le projet de rénovation des Halles de La Cartoucherie, qui devrait être livré dans les mois suivants, viendra étoffer l’offre avec une salle de spectacle, 26 restaurants, des équipements sportifs, un centre d’art, un cinéma, une librairie ou encore des bureaux collaboratifs.
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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