Les inscriptions sont ouvertes pour la 7ème édition de la course organisée par la Ligue contre le cancer, ce dimanche 3 octobre à Toulouse. L’objectif est de rassembler 50 000 euros au profit de la lutte contre le cancer du sein et de ceux liés au papillomavirus.
Mêler sport et convivialité. La 7ème édition de la course “Je me ligue contre le cancer” aura lieu dimanche 3 octobre à la base de loisirs des Argoulets de Toulouse. Elle est organisée dans le cadre d’Octobre rose, un mois dédié à la lutte contre le cancer du sein et ceux liés aux papillomavirus. Ouvert à tous les publics, l’événement propose plusieurs épreuves :
Les inscriptions sont désormais possibles sur le site internet de la Ligue contre le cancer de Haute-Garonne, organisatrice de l’événement. Un tee-shirt est offert pour les 2 500 premiers inscrits. Un échauffement collectif aura lieu avant chaque course. Le pass sanitaire sera obligatoire et le port du masque exigé à chaque départ et arrivée d’épreuves. Un village de partenaires et un espace de prévention seront aménagés sur place.
« Notre objectif est d’atteindre 4 500 participants et de récolter 50 000 euros au profit de la lutte contre les cancers qui touchent les femmes », explique Marie-Ange Léophonte, directrice du comité de Haute-Garonne : « Le contexte sanitaire a engendré des retards sur les diagnostics et les prises en charge : il est urgent de soutenir la recherche et l’accompagnement des patientes ». L’ensemble des bénéfices serviront à financer ses différentes missions : recherche, aide aux malades et prévention.
La ligue contre le cancer profite de cet événement pour rappeler qu’en France, une femme sur huit développe un cancer du sein au cours de sa vie, et plus de 12 000 d’entre elles décèdent chaque année des suites de cette maladie. « Outre la collecte de dons, cette course nous permet de sensibiliser ce public : la palpation des seins, le dépistage organisé ou la vaccination contre le papillomavirus sont de vraies solutions qu’il faut faire connaître », poursuit Marie-Ange Léophonte. Détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut être guéri dans neuf cas sur dix.
Alix Drouillat
Après avoir étudié le journalisme trois ans à Toulouse, Alix fait désormais partie de l’équipe du Journal Toulousain en parallèle de son cursus à l’ESJ Pro de Montpellier.
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