Le réseau de bus de l’agglomération du Grand Montauban va connaître plusieurs adaptations à la rentrée prochaine. Voici lesquelles.
À la rentrée, les offres de transports vont évoluer. Les montalbanais bénéficieront de quelques modifications. Pour commencer, il va y avoir du changement du côté des bus. La ligne 3 va être prolongée jusqu’aux nouveaux quartiers de Bressols au sud de Montauban. De nouveaux arrêts seront également installés. Ensuite, la ville souhaite privilégier la mobilité douce, ainsi, 10 nouvelles stations de vélos en libre-service vont être implantées dans la ville. Et la durée d’emprunt gratuit va doubler en passant de quinze à trente minutes.
Dès la mi-septembre, une application sera également disponible sur smartphone. Les usagers pourront désormais réserver leurs titres de transport à l’aide de leur téléphone. Plusieurs bornes d’information-voyageurs seront disposées en centre-ville et dans le quartier de la gare pour annoncer, en temps réel, l’arrivée des prochains bus.
La ville de Montauban va également généraliser la dématérialisation des titres de transport sur l’ensemble du réseau avec l’application « mybus ». Celle-ci permettra d’acheter et d’utiliser les tickets unitaire ou de 10 de voyages à partir d’un téléphone.
Les Transports Montalbanais ont aussi comme nouvel objectif de renouveler progressivement le parc des autobus à gabarit réduit par des véhicules de grande capacité afin d’améliorer le respect de la distanciation sociale.
Enfin, pour garantir un voyage dans le respect des règles sanitaires, le parc d’autobus sera progressivement équipé de purificateurs d’air ambiant en complément des mesures déjà en vigueur de désinfection et de distributeurs de gel à disposition des usagers.
Le week-end du 18 septembre, un bus spécialement habillé circulera en ville pour célébrer la grande fête des 400 ans des « 400 coups ». Un événement qui commémore un épisode historique fameux qui s’est déroulé pendant le siège de la ville par Louis XIII. Celui-ci aurait fait tirer 400 coups de canon en une seule journée pour tenter d’effrayer la ville huguenote qui résistait depuis près de quatre mois. En réalité, ce furent près de 16 000 boulets qui furent tirés en deux mois et demi. En vain…
(Source : communiqué de presse)
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