Cette semaine, la rédaction du Journal Toulousain s’est penchée sur les aides pour les jeunes en difficulté. Découverte de ces dispositifs qui permettent de soutenir les étudiants.
Garantir un soutien aux étudiants boursiers et aux apprentis après avoir obtenu leur diplôme, le temps de trouver du travail, c’est l’objectif de l’Aide à la recherche du premier emploi (Arpe). Cette allocation mise en place l’an dernier, allant de 200 euros au montant de la dernière bourse touchée, est versée durant quatre mois maximum. Elle ne peut pas être cumulée avec d’autres aides comme le RSA, la Garantie jeunes ou un contrat d’apprentissage. Elle peut être demandée via un formulaire en ligne.
Si le revenu de solidarité active (RSA) est réservé aux plus de 25 ans, plusieurs déclinaisons existent pour soutenir les jeunes en difficultés. Le RSA jeunes actifs vient ainsi en aide aux 18-24 ans ayant travaillé au moins 24 mois à temps plein au cours des trois dernières années, mais se retrouvant aujourd’hui sans emploi. Pour une personne seule, l’allocation de base est fixée à 535,17 euros par mois. Les parents ou futurs parents en situation de précarité peuvent également prétendre au RSA.
Généralisée depuis le 1er janvier dernier, elle permet aux jeunes de 18 à 25 ans, non étudiants et sans emploi, de bénéficier d’un minimum de ressources tout en étant accompagnés dans leur parcours professionnel, via des stages notamment. D’un montant de 470,95 euros par mois, cette aide peut être cumulée avec des revenus d’activité si le total ne dépasse pas 80% du Smic. 150 000 jeunes en difficultés pourraient bénéficier de cette aide en 2017 selon le gouvernement.
Dans le dossier de cette semaine :
Les solutions pour aider les jeunes en situation de précarité
Une jeunesse de plus en plus précaire
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