Entraîneur du Toulouse Olympique XIII, Sylvain Houles aime relever les défis. Après avoir remporté, avec ses hommes, le Championnat de France et la Coupe de France, la saison dernière, pour la première fois dans l’histoire du club, il répond aujourd’hui à nos questions… décalées.
La dernière fois que avez susurré des mots bleus à quelqu’un ?
Ce n’était pas plus tard qu’hier soir, comme tous les soirs quand je souhaite bonne nuit à ma fille.
Quelle note mettriez-vous à votre physique ? (sur 20)
13, comme le rugby à XIII (rire).
En amour, quel est le secret de l’harmonie ?
Je dirai qu’en général, en amour, comme sur le terrain, la communication est primordiale.
Et la fausse note qui peut tout gâcher ?
En tout logique, la « non communication », si on peut appeler ça comme ça.
Quel est le compliment qui vous a le plus touché ?
Tous les compliments que nous avons reçu la saison passée après avoir réalisé le doublé Coupe/Championnat, Juniors et Séniors. Aucun ne sort du lot, ils sont tous bons à prendre.
Quel est votre principal défaut dans la vie tous les jours ?
Il y en a tellement, je ne peux pas en citer qu’un ! (rire)
Avez-vous déjà menti sur votre âge ?
Non, je n’en ai jamais eu l’utilité.
La question qu’on ne vous a jamais posée mais à laquelle vous aimeriez répondre ?
Aimez-vous répondre aux interviews décalées ? (rire)
Quelle est la dernière personne que vous vous êtes mise à dos ?
Je ne sais pas, ça ne me vient pas. Mais comme je fais en sorte de ne pas me mettre les gens à dos…
Avec qui aimeriez-vous échanger votre vie le temps d’une journée ?
En ce moment, je dirai Sam Burgess, récent vainqueur de la NRL avec les South Sydney Rabbitohs et élu joueur de l’année.
Quelle est la dernière chose que vous faîtes avant de vous coucher ?
J’embrasse mes enfants.
« Je fais en sorte de ne pas me mettre les gens à dos »
L’objet personnel qui vous tient le plus à cœur ?
Je n’en ai pas forcément, je ne suis pas matérialiste.
Quand vous partez en vacances, qu’emportez-vous toujours dans votre valise ?
J’emporte toujours un livre. Et comme je ne lis chaque livre qu’une fois, c’est toujours un différent.
Quel trait de caractère vous fait fuir chez les autres ?
Sans hésiter, l’hypocrisie.
Quelle est la dernière fois où vous avez manqué de courage ?
Je ne sais pas si ça compte, mais dernièrement, il a fallu faire une ouverture dans un mur chez moi. Mais ce n’est pas moi qui l’ai faite car sur le moment, je ne me le sentais pas du tout ! (rire)
Quel est votre juron préféré ?
J’essaie d’être le plus poli possible, je fais en sorte de ne pas en dire.
Avez-vous des photos dans votre portefeuille ?
Non, pas de photo.
Que faites-vous encore en cachette ?
Rien, j’assume tout ce que je fais.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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